sâmbătă, 5 ianuarie 2013



Alianța liberă europeană, despre care este vorba mai jos, pare să fie o organizație care militează pentru destructurarea statelor actuale, în numele principiilor naționaliste-autonomiste. Aplicarea acestora induce următoarele consecințe : fărâmițarea în continuare a statelor în unități etnice care nu pot avea nici o soliditate economică în fața coloșilor transnaționali (care nu sunt țări ci imperii financiare) și la impunerea ca singură soluție de rezistență, a federalismului european, în care aceste provincii vor trebui să se supună deciziilor statelor care și-au păstrat și își vor păstra unitatea și forța economică. Cățeii se vor supune dulăilor. Adunarea cățeilor nu se va realiza fiindcă principiul destrămării este o manipulare grosolană susținută în realitate de dulăi și în interesul exclusiv al acestora. O hartă care ilustrează programul Alianței va spune fără perdea ceea ce se tace în program. Manipularea se vede și din faptul că pe hartă zona care își solicită «autonomia» se intitulează Erdely, deși e vorba doar despre județele din estul Transilvaniei. Dan Culcer


EFA

http://www.e-f-a.org

L’ALE, c’est quoi ?
Alliance libre européenne 
Fondements
L’ALE est un Parti politique européen rassemblant des partis de nature nationale, régionale et autonomiste de l'Union européenne.
Les partis politiques membres de l’ALE souscrivent au droit à l’autodétermination des peuples et adhèrent aux principes de la démocratie parlementaire et des droits de l’Homme.
L’objectif principal de l’ALE est de doter le nationalisme et le régionalisme démocratiques d’une structure politique permettant le développement d'initiatives concrètes au niveau européen et de faciliter la participation à la vie politique européenne de partis qui, par leur propre dimension ou par la dimension du territoire qu'ils représentent, s'en verraient inéluctablement exclus.
L’ALE est en faveur de la solidarité entre les peuples, les langues et les cultures. La défense et promotion de la diversité des langues et des cultures au sein de l’UE constituent la base de la construction d’une Europe démocratique et unie.
L’ALE est représentée dans 13 Etats membres de l’UE et compte 33 partis adhérents. Elle dispose de plus de 200 représentants élus aux niveaux européen, national et régional. L’ensemble de ces représentants parle 24 langues différentes.
“Nous nous exprimons clairement et défendons notre droit de lire et de parler dans notre propre langue !”
Rappel historique
L'Alliance Libre Européenne s'est constituée en 1981 comme une Association de coopération réunissant des partis politiques qui se distinguent des schémas de pensées politiques traditionnels dans la mesure où ils mettent au premier plan un régionalisme intégral. Déjà dans sa déclaration de Bruxelles de 1981, l'ALE déclare que « la manière appropriée d'accéder, de façon humaine, à la dimension européenne est de construire l'Europe sur la base des peuples et des régions ». L'Europe doit être basée sur des communautés de peuples, et non une Europe construite sur un modèle centralisé et unitaire.
En 1994, l’ALE s'est officiellement constituée en une fédération de partis conformément aux dispositions de l'article 138 A du Traité de l'Union.
Au cours de l’année 2004 (Barcelone, 26 mars), l’ALE a été re-fondée comme Parti politique européen, selon la nouvelle réglementation européenne (EC 2004/2003; décision du Conseil européen et du Parlement européen du 4/11/2003). Le 13 octobre 2004, l’ALE a été officiellement reconnue comme Parti politique européen.
L’ALE va célébrer son 25ème anniversaire en 2006. Une séance solennelle aura lieu pendant l’Assemblée Générale qui se déroulera, exceptionnellement, à l’hémicycle du Parlement européen à Bruxelles.
Objectifs
L’ALE prône une union européenne de peuples libres et solidaires entre eux fondée selon le principe de subsidiarité. Elle oeuvre en faveur de :
  • la protection de droits humains et des peuples;
  • la défense de l'environnement et un développement soutenable ;
  • la construction d'une société juste et plus solidaire avec des politiques qui favorisent le progrès, la cohésion sociale et l'égalité des chances ;
  • la réorientation d'une Europe trop marquée par une conception nettement économiste, qui a tendance à ériger la libéralisation, la concurrence et le centralisme en principes absolus ;
  • l'action politique exclusivement basée sur la démocratie, et donc non-violente ;
  • l'abandon de l'énergie nucléaire et le développement des sources d'énergie alternative ;
  • la participation des régions dotées constitutionnellement de compétences propres aux réunions du Conseil des ministres pour les matières qui relèvent de leurs compétences, pour faciliter la reconnaissance des nations et régions historiques;
  • ’accès direct aux Régions et Nations historiques à la Cour de Justice européenne ;
  • de réformes démocratiques des Institutions européennes et le renforcement du rôle du Comité des régions ;
  • la défense et la sauvegarde de la diversité linguistique et culturelle de l’UE.
Bruxelles 3 mars 2005.


Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Cu prietenie, Dan Culcer

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